Amoès lance une expérimentation sur la durée du temps de travail

Celles et ceux qui nous lisent habituellement le savent : Amoès est une SCOP, et nous œuvrons fièrement autour de valeurs et d’objectifs qui nous rassemblent. En particulier, notre projet d’entreprise réaffirme tous les ans trois buts principaux : la contribution à la lutte contre le réchauffement climatique, la qualité et l’expertise dans notre travail… et aussi la mise en œuvre d’un modèle d’entreprise qui favorise l’épanouissement de ses salarié.e.s, avec notamment un équilibre entre vie professionnelle et vie privée.

Ce sujet important pour nous a donné lieu à un travail de plusieurs associé.e.s sur la thématique de l'aménagement du temps de travail. Le sujet est dans l’air, et de nombreuses entreprises ou collectivités ont récemment franchi le pas. Chez nous, il faisait également écho à l’enjeu de la réduction de la charge de travail, point cardinal du travail de prévention des risques psycho-sociaux que nous menons chez Amoès depuis de nombreuses années.

Après de nombreuses discussions, et un accompagnement de nos amis de Kepler186 pour la prise de décision finale, nous avons décidé de mettre en œuvre une expérimentation à compter du 1er juillet 2024 : les salarié.e.s d’Amoès ne travailleront pas deux après-midi par mois, les 1er et 3ème vendredi de chaque mois.

L’idée sous-jacente est de « travailler mieux et produire autant, pendant une semaine raccourcie ». En effet, nous partageons la conviction -étayée par les retours d’expérience d’autres entreprises- que l'aménagement du temps de travail sur une durée inférieure à 5 jours permet d’être plus reposés, plus motivés, et in fine d’avoir un meilleur fonctionnement, moins d’usure, et autant de production.

Nous faisons en tout cas ce pari, et nous ferons le point sur cette expérimentation à l’été 2025, pour la prolonger ou non -ou éventuellement aller plus loin !

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